L’UFAR, c’est le paradis !

Arménie francophone
11.09.2019

Déclare Mérie Galstyan, étudiante en 4e année de Gestion à l’Université française en Arménie, qui rêve de créer un jour sa propre entreprise. Elle est persuadée : pour la réalisation de son rêve, l’Université française en Arménie est un point de départ idéal.

Par Anna Baghdassarian

Après avoir participé à la Journée Portes ouvertes de l’Université française en Arménie, Mérie Galstyan a tout de suite compris : c’est ici qu’elle voit son avenir. La rencontre avec les étudiants, l’accueil de l’équipe pédagogique et des personnels, ainsi que l’ambiance conviviale et favorable aux études grâce à l’entraide des étudiants ont donné à Mérie une grande envie d’entrer à l’UFAR. « Je suis tout de suite tombée amoureuse de cette université. L’ambiance était si chaleureuse que d’autres universités me semblaient sombres et moins attirantes. J’ai adoré les relations entre les profs et les étudiants. En plus, j’adorais la langue française, et l’UFAR était la seule université arménienne qui pourrait m’offrir cette possibilité : étudier l’économie (et la gestion) en ma langue préférée, ainsi qu’apprendre parallèlement l’anglais, l’espagnol, le russe. Ça veut dire, je peux être une spécialiste qui maîtrise sa profession en cinq langues, ce qui est un grand atout sur le marché du travail », -nous raconte Mérie Galstyan.

Mérie est passionnée par des prévisions de risques, des analyses financiers et rêve de fonder un jour sa propre entreprise. Elle qui pourrait faire ses études gratuitement à l’Université économique d’Arménie, a choisi l’UFAR. « L’UFAR prépare des spécialistes compétitifs qui occupent souvent des postes importants. L’UFAR est un paradis pour ceux qui veulent étudier et avoir du succès. », -ajoute Mérie Galstyan. Elle souligne : ce qui fait l’UFAR exceptionnelle, c’est bien sûr son approche différente des étudiants et de l’éducation. « A l’UFAR, on n’apprend jamais des choses dont on n’a pas besoin. Et puis, à côté des cours professionnels, ici on fait également beaucoup d’attention aux des langues étrangères : français, anglais, espagnol. Grâce à nos professeurs, durant 3ème et 4ème années d’études, on participe aux cours professionnels en français, on fait des présentations, on passe des examens en français sans aucune difficulté. Par ailleurs, les groupes de langues sont formés selon les niveaux des étudiants pour garantir les conditions égales pour tout le monde, ce qui veut dire qu’ici, l’égalité des chances est bien respectée. En plus, il faut en ajouter l’opportunité d’avoir des cours avec des profs français qui partagent avec nous leur expérience, qui nous font découvrir un monde inconnu », - raconte Mérie.  

Parmi les avantages de son université, elle souligne également la possibilité de faire des stages à l’étranger.  « Ainsi, l’université nous motive à étudier mieux, car en ayant de bonnes notes et de grands progrès nous pouvons faire des stages dans des pays francophones ». Le seul problème que Mérie voit actuellement à l’UFAR sont les conditions de bâtiment d’université - les salles d’étude, la cantine... -  mais il va se résoudre avec l’inauguration du nouveau campus de l’UFAR, grâce au projet UFAR 20+.

Mérie a décidé : une fois la Licence obtenue, elle va continuer ses études en Master : « Ce qui me plait en master de l’UFAR, c’est que le travail est obligatoire pendant les études, et l’UFAR crée toutes les conditions nécessaires pour cela : par exemple, les cours de Master commencent après 18h00. Mais j’ai une autre option : le diplôme de l’UFAR est reconnu dans plusieurs pays du monde et cela nous donne la possibilité de continuer nos études à l’étranger. Étant quelqu’une très curieuse, je voudrais faire mon Master dans un pays étranger, faire connaissance avec la culture d’entreprise de ce pays, se développer. Mais si je reste en Arménie, bien sûr, je serai à l’UFAR. En cas où je pourrais faire mon Master ailleurs, je vais quand même rentrer à l’UFAR pour faire mon Doctorat ici ».