« La Forteresse perdue »

Arts et culture
07.09.2019

La maison d'édition ID France-Loire vient de publier le premier roman de S.K. Durman, « La Forteresse perdue ». Entre exotique et historique, entre amour et haine, entre conflits et crime, ce livre nous transporte au seuil du Moyen-Orient.

Né à Paris où il paracheva ses études par une maîtrise en droit des affaires, S.K. Durman est un amoureux des mots. Installé à Tours, il est formateur en efficacité professionnelle. Imprégné de plusieurs cultures entre Orient et Occident, transmettre est, pour lui, une passion ; la curiosité en est une autre ; écrire, une vocation. Issu d’un savant cocktail ethnique qui génère ce talent pour nous passionner, S.K. Durman se dit 60,8 % Asiatique de l’Ouest, 18,8% Italien, 17,9% Moyen-Oriental, 2,5% Juif Ashkénaze.

Les évènements de son roman « La Forteresse perdue » se déroulent en 1920. L’Europe savoure la paix en oubliant qu’on meurt encore à ses portes, dans les provinces orientales d’Anatolie. La Russie est à feu et à sang. Le Caucase vit dans la tourmente d’une lutte d’influence entre les Anglais et les bolcheviks. La guerre a détruit des familles entières. Elle a laissé derrière elle ruine et désolation. Elle a aussi eu ses héros anonymes.

Réfugié à la tête de son armée de mercenaires dans une forteresse perdue au sud du Caucase, le prince-général de Lambron, surnommé le Diable de Çildir, est l’un de ceux-là, un homme fatigué de combattre, vivant avec ses doutes, ses remords et ses blessures. Son dernier espoir est de retrouver son fils disparu.

N.B. Le livre « La Forteresse perdue » est déjà en vente : chez l’éditeur sur son site : ID France-Loire et également en librairies sur commande via DILICOM.